Le combat se gagnera dans nos Loges…

Le combat se gagnera dans nos Loges ou ne se gagnera pas !

Nous l’avons exprimé de différentes manières, tout au long de l’année qui vient de s’écouler. Les frères qui veulent retrouver un sens à pratiquer la maçonnerie doivent entrer dans une phase beaucoup plus dure pour signifier leur « ras le bol ».

Tous les procédés « fun » ont montré leurs limites, c’est aux maçons de faire le travail et cela ne doit pas faire peur à tous ceux qui ont une haute idée de notre institution.

La seule issue satisfaisante possible : une GLNF re-fondée avec une hiérarchie reconnue, légitime et honorable ; cela ne va malheureusement pouvoir être possible qu’en passant d’abord par une phase de chaos.

Nous devons refuser tout compromis et exiger que l’assemblée générale soit seule reconnue, comme souveraine, par la justice. Pour cela nous devrons sans doute refuser de voter les budgets présentés et d’adouber les GM non « conformes » à nos aspirations.

L’assemblée générale souveraine, c’est le cas dans toutes les associations, cela n’est plus le cas à la GLNF ; c’est une aberration qu’il faut corriger au plus vite.

Tous ceux qui s’opposent au retour d’une Fédération de Loges, le font uniquement par la crainte que le « pouvoir » revienne à celle-ci. Les frères sont trop « benêts » (j’emploie un mot gentil) à leur idée, pour choisir un président qui soit compétent, il faut absolument que des maçons (?) de haut niveau s’en chargent et décident pour eux.

Tous les frères, de par le monde, qui ont crée des obédiences aux services des Loges, n’ont absolument rien compris. On a la chance d’avoir à la GLNF des gens très intelligents, qui veulent absolument faire notre bonheur en décidant pour nous, et qui ne veulent pas perdre une parcelle du contrôle de l’institution.

Et bien non ! Les frères n’ont pas fait la révolution pour retrouver un système amélioré certes, mais un système au service d’une pseudo-élite. Nous déciderons à l’avenir qui est digne de nous diriger, on est assez grand pour le faire.

Qu’on se le dise !

guinguingoin