Il faut bien mesurer la gravité de la situation…
Beaucoup de frères, dont bien sûr, les plus jeunes, découvrent sur des documents qui ressortent, ici et là, aujourd’hui (courriers de Pierre Marion, d’Alain Biggio, d’Alexandre de Yougoslavie, d’Etienne Dailly..etc., voir article précédent sur notre blog) que la situation à la GLNF était déjà très grave en 1996, à l’avènement de la carrière de C.C.. Celui-ci est du reste entré dans la carrière trés brillamment !
Rendez-vous compte de ce que cela veut dire, les membres du SGC, du CA, tous les « dignitaires » en place à cette époque connaissaient parfaitement, déjà, les dérives de l’obédience et ils n’en ont absolument pas « pipé mot ».
La meilleure preuve, Alain Juillet dans un courrier publié sur le blog de l’Express, confirme et signe :
« fruit d’une dérive apparue depuis 1997 »…«Nous devons assumer nos devoirs d’hommes et de francs maçons face à une dérive sectaire où l’affairisme remplace la spiritualité, et la soif d’honneurs et de pouvoir l’humilité au service des Frères.»… « la direction de notre obédience ne peut plus cacher qu’ayant privilégié le paraître au détriment de l’être, elle n’a plus grand‐chose à voir avec la règle en douze points et les valeurs fondatrices de 1913. »
Les meilleurs serviteurs de françois, même ceux qui l’ont mis en place témoignent aujourd’hui pour nous dire que depuis 1997, la GLNF était sous leur contrôle.
Chapeau, les « mecs » !
Cela prouve que les pieds nickelés ont toujours bénéficié du soutien de très nombreux complices, parfaitement au courant de leurs dérives, mais qui s’en accommodaient fort bien.
Je me rappelle la réflexion d’un GMP au début du conflit avec françois dans une réunion : « avec CC on était peinard, lui au moins, ne se mêlait pas de nos affaires », réflexion symptomatique, non !
Ce qui veut dire que les « dignitaires » de l’ordre, connaissaient parfaitement le pourrissement de l’édifice, mais le trouvaient parfaitement acceptable dans la mesure où ils y trouvaient leurs comptes personnels !
Et bien oui, la situation morale, épouvantable de l’obédience était parfaitement connue des frères aux affaires, la démission de certains frères exemplaires ne s’est pas faite dans la discrétion du tout ; ils ont alerté les membres du SGC de la situation et ceux-ci pour préserver leurs « petits galons », leurs « petits avantages », se sont tus pendant quinze ans et se sont parfaitement accommodés de la situation.
Et lorsque, dans nos lointaines provinces, un frère s’inquiétait des bruits alarmants, bien qu’atténués, venant de Pisan, il était aussitôt rassuré par des propos lénifiants avec, au passage, une bonne « couche de peinture » sur le dos des frères démissionnaires.
Comment aujourd’hui faire confiance aux mêmes qui manœuvrent pour garder le contrôle de l’obédience ? C’est totalement impossible, mais ils ne désarment pas et si on les chasse par la porte, ils rentreront par les fenêtres. Les « Hauts Grades » ou de « Sagesse », sont là pour cela ! Ils y ont déjà fait carrière et y ont assuré leurs arrières (nous avons quelques bons exemples en magasin).
Ne nous leurrons pas, toutes les structures ont été malheureusement contaminées et perverties par les mêmes ; n’employons plus le mot de frères pour eux comme qualificatifs car pour eux l’ambition dévorante fait force de loi. Ce n’est bien sûr qu’une minorité, mais « Ô » combien redoutable, agissante et efficace, pour garder les rênes du pouvoir !
Pour assurer leur propre sauvegarde, ils nous vendent aujourd’hui une GLNF repeinte ou une GLNF bis, mise en place, et contrôlée par eux, et bien c’est justement ce que l’on ne veut pas !
Pour remettre notre structure sur les rails qu’elle n’aurait jamais du perdre, il y a encore du pain sur la planche ! Les marchands du Temple sont toujours omniprésents mais nous ne désarmerons pas !
guinguingoin
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Télécharger le modèle de déclaration de la loge (sans suspension de liens avec la GLNF)
Télécharger le document explicatif sur les associations maçonniques.
Télécharger les statuts d'associations proposés par le Mont Gargan pour la loge.