Sus à l’oligarchie pisanienne !…
L’oligarchie pisanienne est maintenant plongée dans un tourbillon, que dis-je, un malstrom de désaffections, reniements, trahisons…etc. ; la liste n’est pas exhaustive !
Tous ceux qui ont soutenu le régime, mais qui n’ont pas « trop » profité de ses largesses, quittent le navire ; pour tous ceux qui ne voudraient pas trop que soient étudiés avec précision, les frais de fonctionnement de la GLNF et de ses satellites depuis une vingtaine d’années, négocier le virage est beaucoup plus délicat.
Les ralliements de dernière minute, ne peuvent se négocier que contre une grande mansuétude de ceux qui vont être appelés à prendre le pouvoir.
C’est bien là que réside toute la difficulté de la sortie de crise. Que peut-on pardonner sans renier totalement les fondamentaux de la maçonnerie ? Que peut-on passer sous silence ?
Toutes ces petites trahisons, reniements des valeurs de la Franc- Maçonnerie, volte face permanentes en fonction de son ego et intérêts personnels…etc., comment les appréhender ? Un frère sur ce blog avait suggéré habilement de créer le cas « d’indignité maçonnique ».
Surtout, et c’est bien évident, le principal souci de ceux qui sont dans les « starting blocks » pour prendre le pouvoir, c’est de savoir ce que les frères vont être capables de digérer sans renâcler ? Jusqu’où la pilule pourra être avalée sans trop de problèmes ?
On le voit parfaitement bien dans les programmes esquissés par certains, qui proposent d’associer la carpe et le lapin, le loup et les moutons et qui au nom d’une grande réconciliation générale proposent de procéder au « grand pardon ».
Pardonnons-leur, ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient !
OK, mais le « brouet infamant » risque d’avoir du mal à passer et je reprendrais l’esprit des paroles du bâtonnier Titgen, aux assises, (où je n’y ai franchement rien compris) : « pour retrouver votre honneur, il faudra aller au fond des choses »
L’ensemble des myosotis présents à leur dernière réunion à Tours a adopté, à travers les propositions faites dans le livre blanc, des préalables et des objectifs de réforme de statuts non négociables. Attention aux apprentis sorciers qui tenteraient de modifier ceci en fonction de leurs propres intérêts.
On les voit venir, avec leurs « gros sabots » (non, escarpins vernis !), tous ceux qui n’ont comme ambition dans le futur de notre obédience, que de se retrouver « les pieds au sec » et de tenter, autant que faire se peu, de garder leurs prérogatives.
Pour ceux-là, va t-on sacrifier la seule chance de retrouver un espace de fraternité et de paix ? Vouloir sauver ceux qui ont servi françois et ses prédécesseurs au delà de toute raison (il en est même qui continuent, accrochés à leurs titres comme des tiques sur la peau d’un chien), c’est prendre le risque énorme de précipiter définitivement la GLNF dans l’opprobre.
Notre honneur retrouvé est la seule solution acceptable ; surtout pas des accords de « boutiquiers » (il n’y a rien de péjoratif pour les pauvres boutiquiers), il faut purger les abcès et proposer un fonctionnement simple avec nos valeurs mises en avant.
guinguingoin