La position du « postérieur entre deux chaises »…
La position du « postérieur entre deux chaises » est monnaie courante aujourd’hui chez nous ; elle est, c’est évident, fort peu conciliable avec les symboles que représente le « pavé mosaïque ».
Nous ne pouvons pas en vouloir à ceux qui se sont mis dans cette position, si un peu, non un tout petit peu car ils gardent toujours leur libre arbitre, par l’exemple de frères plus anciens dont les positions ont été, le moins que l’on puisse en dire, à « géométrie variable ».
Faire confiance, être respectueux de la hiérarchie et des valeurs établies…etc. ., tout a été remis en question par la découverte de comportements sectaires, mafieux mêmes qui ont complètement abasourdi les maçons dans nos Loges.
Au lieu d’un rejet franc et massif, (ce qui aurait été logique pour permettre de se dédouaner de tels agissements), on a découvert avec stupéfaction que certains n’ont pas hésité à « calmer le jeu » et ont permis à ceux qui avaient provoqué toutes les dérives de continuer à sévire, pratiquement comme si de rien n’était.
On mesure un peu mieux, aujourd’hui, la surprise de ceux, qui au sein du SGC, auraient pu croire que la majorité des membres les aurait suivis le jour où ils ont dénoncé ouvertement toutes ces turpitudes.
Certains même qui, pensant être dans le « bon wagon », avaient suivi le mouvement, se sont vite rétractés pour raccrocher le pouvoir en place quand ils se sont aperçus qu’ils étaient si peu nombreux. Chercher parmi ceux qui ont cautionné ces abus, qui sont restés assis sans réaction, prouvant ainsi leur absence de courage, un « client présentable», pour prendre la tête de l’obédience, avouez que c’est mission impossible !
Seul l’engagement sur l’honneur de réaliser les réformes, toutes les réformes, redonnerait une légitimité à ce candidat potentiel. Y en aura t-il un pour le faire sans restriction ? Ce n’est pas certain du tout, car ceux qui vont le soutenir, voire le pousser en avant, veulent absolument faire partie des « bagages » et continuer à garder la main sur « les affaires » (voire lui succéder plus tard).
Pour cela, il faudra nous « vendre » des statuts qui permettent à ces jolis « messieurs » la possibilité de garder le « contrôle » et ce n’est certainement pas en redonnant aux Maîtres de L’Ordre, par le biais d’une Fédération de Loges, les pleins pouvoirs, que cela leur sera possible.
Nous attendons, non pas avec délectation, la situation étant trop triste, les programmes « électoraux » des candidats potentiels.
Allons nous trouver l’oiseau rare capable d’être « un sage parmi les sages » ? Ce n’est pas impossible, mais nous n’accepterons pas de compromissions, ni de chèque en blanc, on ne cautionnera pas un système boiteux, on a donné et surtout on n’est pas « à vendre » !
Comptez sur nous pour dénoncer les « artistes » qui ne vont pas tarder à se manifester si ce n’est pas déjà fait !
guinguingoin